Jour 1: Valence - Les Ollières sur Eyrieux
Départ de Paris à six heures pour certains, départ de Valence à 11:30 pour d'autres, départ de Lyon pour les derniers (horaire inconnu), nous nous rejoignons à la gare de Valence TGV à 12h. Il ne pleut pas.
On part de la gare ( il pleut enfin), direction la gare de Valence centre ville. L'ami Rico, excité comme une puce à l'idée d'enfin participer à une traversée, chausse son Nakamura de chez Go sport monté Michelin, et nous prenons la route ( il pleut presque). Après avoir croisé 2 jogueuses (à droite, vraiment pas mal, à gauche, RAS) nous prenons la direction du château de Crussol (il pleut pas mal).
Après une petite ascension, nous arrivons sur les crêtes ( il pleut beaucoup). Le panorama semble superbe, mais le temps est très couvert donc on ne voit rien. Les roches mouillées nous donnent du fil à retordre, mais nous redescendons sur Toulaud, où les brothers nous attendent pour le premier point de passage ( nous n'appèlerons pas ça un ravito par honnêteté vis à vis de nos lecteur). Au fait il ne pleut plus, c est assez rare pour être noté).
Nous repartons de plus belle dans une ascension assez raide qui initie les premiers portage. Petit passage en sous bois, et descente vers le second ravito (bref le premier). Il repleut, il est 17h, nous repartons fièrement vers notre première étape, et Alex ressent de premières douleurs au genou gauche.
Il se met à pleuvoir ( on l'avait déjà dit, mais là c'est le déluge), les chaussettes sont trempées, les idées humides. Nous arrivons enfin au gîte, où on lave les VTT (pas grand chose à faire, ils avaient déjà pris leur douche), fourrons nos chaussures de papier, et filons sous la douche, qui communique directement avec la chambre de Nico et Ludo qui, tout contents de nous retrouver, tapent la discute dans ces instants où la pudeur est aussi fine qu'une chambre à air en latex.
Quelques verres de rosé plus tard, une soupe aux lentilles, des caillettes et un gratin d aubergines, nous rejoignons nos chambres, Alex se faisant faire un petit pansement d argile verte sous cellophane au passage par la tenancière, nous terminons la soirée par un petit blind-test de Lionel qui passionnera surtout nico !
On part de la gare ( il pleut enfin), direction la gare de Valence centre ville. L'ami Rico, excité comme une puce à l'idée d'enfin participer à une traversée, chausse son Nakamura de chez Go sport monté Michelin, et nous prenons la route ( il pleut presque). Après avoir croisé 2 jogueuses (à droite, vraiment pas mal, à gauche, RAS) nous prenons la direction du château de Crussol (il pleut pas mal).
Après une petite ascension, nous arrivons sur les crêtes ( il pleut beaucoup). Le panorama semble superbe, mais le temps est très couvert donc on ne voit rien. Les roches mouillées nous donnent du fil à retordre, mais nous redescendons sur Toulaud, où les brothers nous attendent pour le premier point de passage ( nous n'appèlerons pas ça un ravito par honnêteté vis à vis de nos lecteur). Au fait il ne pleut plus, c est assez rare pour être noté).
Nous repartons de plus belle dans une ascension assez raide qui initie les premiers portage. Petit passage en sous bois, et descente vers le second ravito (bref le premier). Il repleut, il est 17h, nous repartons fièrement vers notre première étape, et Alex ressent de premières douleurs au genou gauche.
Il se met à pleuvoir ( on l'avait déjà dit, mais là c'est le déluge), les chaussettes sont trempées, les idées humides. Nous arrivons enfin au gîte, où on lave les VTT (pas grand chose à faire, ils avaient déjà pris leur douche), fourrons nos chaussures de papier, et filons sous la douche, qui communique directement avec la chambre de Nico et Ludo qui, tout contents de nous retrouver, tapent la discute dans ces instants où la pudeur est aussi fine qu'une chambre à air en latex.
Quelques verres de rosé plus tard, une soupe aux lentilles, des caillettes et un gratin d aubergines, nous rejoignons nos chambres, Alex se faisant faire un petit pansement d argile verte sous cellophane au passage par la tenancière, nous terminons la soirée par un petit blind-test de Lionel qui passionnera surtout nico !
Jour 2: LeS Ollières sur Eyrieux - Vesseaux
Réveil a 8h30. On se retrouve tous au petit déjeuner a 9h. Un couple de Belge s'invite a notre table.
C'est copieux avec des confitures maison et des croissants qui eux sont rationnés et que tout le monde n'aura pas loisir de goûter vu que les belges ont mangé leur part mais aussi celle d Éric et Lio.
C est pas grave, on est d'attaque, on sort les vélos et pendant que Ludo et Nico font leur rituel mécanique, stupeur : Éric a une crevaison lente ! Après une réparation rondement menée c'est vraiment parti pour 48km et 1800m de d+. Nous quittons l'ancienne demeure bourgeoise des Ollieres sur Eyrieux direction Vesseaux. Alex a une douleur au genoux et malgré le cataplasme a l'argile posé par le propriétaire des lieux la veille, il préfère assurer les ravitaillements.
Ça monte mais les chemins sont aussi roulants que magnifiques. Éric est sur son terrain il profite pleinement de cette seconde mais déjà dernière journée.
Il rentrera le soir car du travail l'attend mercredi. Après quelques singles ludiques, on redescend vers Privat ou le premier ravitaillement nous attend. Alex a prévu des mets locaux avec notamment un très bon chèvre de pays. Délicieux ! C'est reparti. Nous entamons une montée par la route avant d'emprunter un nouveau single parsemé de pierres.
Nous traversons plusieurs villages avant d'arriver via un fabuleux single à flanc de montagne a Louyres. Village abandonné il y a plus de 50 ans et retapé par un pharmacien de Vesseaux. Ce très joli hameau est maintenant entièrement restauré et les habitant y vivent en communauté. Nous continuons sur ce single, traversons un champ de ruche. Les senteurs sont agréables ! Dernière bosse et fin de la trace !
Pas de gîte en vu ce qui n est pas étonnant vu notre position, perchee sur la colline en pleine nature. Grace au GPS on trouve un chemin en direction de Vesseaux qui se transforme rapidement en single caillouteux a souhait, avec des marches a ne plus savoir ou mettre les roues. Bref du pur ludique et qualitatif, le dieu du single semble nous suivre d année en année. Nous arrivons a l entrée de Vesseaux les bras et jambes en feu mais le sourire aux lèvres. Rapidement nous trouvons Alex et le gîte. Bonne nouvelle après un passage aux urgences, c est pas grave pour Alex et avec quelques inflammatoires sa semaine peut continuer. Le gîte le mas du moulin est somptueux et les propriétaires nous accueillent royalement.
Sur leur conseil nous allons manger dans un bistrot de région, les spécialités locales sont au menu qui est généreux et bon.
Retour au gîte pour voir le Brésil se faire étriller et profiter d une bonne nuit de sommeil les yeux encore remplis des belles images de la journée.
C'est copieux avec des confitures maison et des croissants qui eux sont rationnés et que tout le monde n'aura pas loisir de goûter vu que les belges ont mangé leur part mais aussi celle d Éric et Lio.
C est pas grave, on est d'attaque, on sort les vélos et pendant que Ludo et Nico font leur rituel mécanique, stupeur : Éric a une crevaison lente ! Après une réparation rondement menée c'est vraiment parti pour 48km et 1800m de d+. Nous quittons l'ancienne demeure bourgeoise des Ollieres sur Eyrieux direction Vesseaux. Alex a une douleur au genoux et malgré le cataplasme a l'argile posé par le propriétaire des lieux la veille, il préfère assurer les ravitaillements.
Ça monte mais les chemins sont aussi roulants que magnifiques. Éric est sur son terrain il profite pleinement de cette seconde mais déjà dernière journée.
Il rentrera le soir car du travail l'attend mercredi. Après quelques singles ludiques, on redescend vers Privat ou le premier ravitaillement nous attend. Alex a prévu des mets locaux avec notamment un très bon chèvre de pays. Délicieux ! C'est reparti. Nous entamons une montée par la route avant d'emprunter un nouveau single parsemé de pierres.
Nous traversons plusieurs villages avant d'arriver via un fabuleux single à flanc de montagne a Louyres. Village abandonné il y a plus de 50 ans et retapé par un pharmacien de Vesseaux. Ce très joli hameau est maintenant entièrement restauré et les habitant y vivent en communauté. Nous continuons sur ce single, traversons un champ de ruche. Les senteurs sont agréables ! Dernière bosse et fin de la trace !
Pas de gîte en vu ce qui n est pas étonnant vu notre position, perchee sur la colline en pleine nature. Grace au GPS on trouve un chemin en direction de Vesseaux qui se transforme rapidement en single caillouteux a souhait, avec des marches a ne plus savoir ou mettre les roues. Bref du pur ludique et qualitatif, le dieu du single semble nous suivre d année en année. Nous arrivons a l entrée de Vesseaux les bras et jambes en feu mais le sourire aux lèvres. Rapidement nous trouvons Alex et le gîte. Bonne nouvelle après un passage aux urgences, c est pas grave pour Alex et avec quelques inflammatoires sa semaine peut continuer. Le gîte le mas du moulin est somptueux et les propriétaires nous accueillent royalement.
Sur leur conseil nous allons manger dans un bistrot de région, les spécialités locales sont au menu qui est généreux et bon.
Retour au gîte pour voir le Brésil se faire étriller et profiter d une bonne nuit de sommeil les yeux encore remplis des belles images de la journée.
Jour 3: Vesseaux - Vallon Pont d'Arc
44 Kms - 1100 m de D+
Après une super nuit passée dans ces chambres très confortables, nous nous régalons d'un petit déjeuner copieux préparé par nos hôtes. Ludo, est ce matin responsable de la caravane. Après une revue de nos destriers mécaniques, nous prenons la direction d'un chemin qui nous ramène sur les crêtes quittées la veille. La piste laisse place à un single montant, puis nous longeons une falaise abrupte où le panorama est splendide, mais la trace un peu proche du précipice par endroit.
Nous enquillons un pierrier raide qui nous réservé des surprise. A mi descente, Lionel, tel le dragon terrassé par saint Georges, fait retentir un hurlement lugubre qui fit fuir les animaux jusqu à Avignon et peut être au delà. Son pneu Rocket Ron venait de s éventrer sous l'attaque de pierres maléfiques.
La stupeur et l'effarement se lisaient sur son visage, ce visage des heures sombres, il fallut attendre quelques minutes pour la réalité de l'état de sa roue le ramène parmi nous. Il logeât une chambre à air en latex verte qui lui permettrai de terminer l aventure. Victime d'un coup de pompe après avoir donné plusieurs coups de pompe à sa chambre, il passât la main à Alex qui fut désabusé de faire éclater la dire chambre au troisième coup d air.
La matinée était décidément mal embarquée. Une chambre à air plus tard, nous reprimes la descente. En bas de celle ci, c'est Nico qui se retrouva à plat. Schwalbe 1 - 1 Maxxis. Le préventif pour tracteur de Nico ne fit pas effet, et il fallut appeler Ludo pour un ravito technique. Après le dragon c était au tyrex d être ko. Lio sait donner sa confiance, mais il sait aussi la reprendre, Rocket Ron l'apprit à ses dépends. Ayant fait perdre de précieux points de crédibilité à Lio vis à vis du groupe, il finit l'aventure dans l'anonymat d'une poubelle, les autres pneus détournèrent les crampons tant la sentence était humiliante.
Nous pûmes reprendre la route après avoir perdu pas mal de temps. Nico lançât un petit concours de traversée de rivières en gardant les pieds au sec que ni Alex ni Lio ne durent relever.
Beau single descendant sur le Château de Voguie où où le ravito de Ludo était dressé. Un petit vent de panique souffla lorsque nous constatames que le laguiole de Nico avait disparu (Alex a eu droit aux gros yeux). Ludo et Nico alternèrent pour l'après-midi, et Ludo pu apprécier la ballade sur plusieurs kilomètres de l Ardèche. Après Vallon Pont d Arc, il nous restait 7 km hors trace GPS pour rallier Vagnas, notre destination. Un écossais brute de fonderie, tenancier de l auberge du chardon, nous accueilli avec des pintes de bière. Les chambres avaient baissé de gamme, mais restaient correctes. Apres un petit crochet par l arche qui surplombe l Ardèche, nous allames flâner et descendre quelques verres à Vallon Pont d Arc. La soirée allait s'éteindre petit à petit devant la piètre prestation d Argentine - Pays Bas, que Ludo et Nico écourtèrent sans surprise à la mi temps.
Nous enquillons un pierrier raide qui nous réservé des surprise. A mi descente, Lionel, tel le dragon terrassé par saint Georges, fait retentir un hurlement lugubre qui fit fuir les animaux jusqu à Avignon et peut être au delà. Son pneu Rocket Ron venait de s éventrer sous l'attaque de pierres maléfiques.
La stupeur et l'effarement se lisaient sur son visage, ce visage des heures sombres, il fallut attendre quelques minutes pour la réalité de l'état de sa roue le ramène parmi nous. Il logeât une chambre à air en latex verte qui lui permettrai de terminer l aventure. Victime d'un coup de pompe après avoir donné plusieurs coups de pompe à sa chambre, il passât la main à Alex qui fut désabusé de faire éclater la dire chambre au troisième coup d air.
La matinée était décidément mal embarquée. Une chambre à air plus tard, nous reprimes la descente. En bas de celle ci, c'est Nico qui se retrouva à plat. Schwalbe 1 - 1 Maxxis. Le préventif pour tracteur de Nico ne fit pas effet, et il fallut appeler Ludo pour un ravito technique. Après le dragon c était au tyrex d être ko. Lio sait donner sa confiance, mais il sait aussi la reprendre, Rocket Ron l'apprit à ses dépends. Ayant fait perdre de précieux points de crédibilité à Lio vis à vis du groupe, il finit l'aventure dans l'anonymat d'une poubelle, les autres pneus détournèrent les crampons tant la sentence était humiliante.
Nous pûmes reprendre la route après avoir perdu pas mal de temps. Nico lançât un petit concours de traversée de rivières en gardant les pieds au sec que ni Alex ni Lio ne durent relever.
Beau single descendant sur le Château de Voguie où où le ravito de Ludo était dressé. Un petit vent de panique souffla lorsque nous constatames que le laguiole de Nico avait disparu (Alex a eu droit aux gros yeux). Ludo et Nico alternèrent pour l'après-midi, et Ludo pu apprécier la ballade sur plusieurs kilomètres de l Ardèche. Après Vallon Pont d Arc, il nous restait 7 km hors trace GPS pour rallier Vagnas, notre destination. Un écossais brute de fonderie, tenancier de l auberge du chardon, nous accueilli avec des pintes de bière. Les chambres avaient baissé de gamme, mais restaient correctes. Apres un petit crochet par l arche qui surplombe l Ardèche, nous allames flâner et descendre quelques verres à Vallon Pont d Arc. La soirée allait s'éteindre petit à petit devant la piètre prestation d Argentine - Pays Bas, que Ludo et Nico écourtèrent sans surprise à la mi temps.
Jour 4: Vallon Pont d'Arc - Besseges
Après une bonne nuit a l'hotel du chardon et la traditionnelle séance de bricolage nous voilà reparti pour notre destination Bessèges qui nous attend 51km plus loin et 1400D+. Le départ se fait par la route. Rapidement nous empruntons des sentiers a travers champs pour arriver a la première difficulté du jour. Une montée en single bien fournir en cailloux et marches qui nous obligera a mettre pied a terre a plusieurs reprises. A l'issue de la montée le single nous fait longer les courbes de niveau et devient plus joueur. Arrivé en haut nous attend une descente ... par la route ! Heureusement nous trouvons un chien qui nous emmène au même endroit et se révèle a nouveau très caillouteux mais très agréable. Il est descendu a Mach 2 et malgré le terrain délicat les pneus tiennent bons. Direction Beaulieu par la route en mode contre la montre ou le premier ravitaillement nous attend. Sans surprise nous ne trouvons pas Alex, classique il a développé une technique de camouflage exceptionnelle depuis quelques années ... 20mn plus tard et après avoir donné notre langue au chat ça y est Alex nous rejoint.
Lio récupère la voiture et nous continuons votre chevauchée sur un bon rythme. Nous rentrons dans la foret domaniale du Rouvergue. Sur plusieurs kms, nous empruntons des pistes magnifiques en plein milieu de la forêt. Nous faisons les sangliers quelques temps lorsqu'il le GPS nous indique de prendre une hypothétique piste sur la droite. Nous traversons le village de St Paul le Jeune et empruntons un magnifique single qui n'a pas été pris depuis de nombreuses années. Il est truffé d'Archos en tout genre: Nos bras et Jambes s'en souviennent encore.
A courry, nous en profitons pour faire le plein de nos gourdes chez l'habitant. Nous franchissons la dernière difficulté de la journée: le Col de l'Espé et entamons la dernière descente vers Bessèges.
Nous passons dans 2 hameaux désertés (Castillon et Foussignargues) puis en cours de réhabilitation: Magnifiques!
Les 2 derniers kms vers Bessèges se font sur la route.
A Besseges on croirait dans une ville fantôme digne d'un épisode de scoubidou. Petit apéro au bistrot du coin, le temps d'apprendre que le drame de l'inondation des mines est a l origine de Rémi sans famille et nous voilà parti pour Rouvelong et son sympathique restaurant l'école buissonnière. Un patron charmant et passionné, qui nous offre l'apéro, des plats copieux et délicieux voilà qui termine bien la semaine. En repartant pour besseges nous nous arrêtons à la grande combe pour une soirée flamenco très pittoresque sur la place du village. La dentiste locale nous a gratifié de quelques danses endiablées ... A la fin du spectacle nous rentrons doucement sur besseges c est que le lendemain s annonce rude : lève a 7h !
Jour 5: Besseges - Ales
33 Kms - 1300 m de D+
Cette semaine placée sous le signe des vacances sportives mais relax s'achève sur un écart : réveil à 6:00, il faut être sur d'avoir rallié Ales pour 12h55, horaire du train qui ramène Alex et Lio. Après un petit déj sans thé pour Alex et Nico, Ludo ayant descendu la théière tel Absalon dans un single track, nous prenons une dernière fois les routes du Gard pour une matinée qui s'annonce très ensoleillée, Lio sera lui aux commandes de la BMW. La trace est assez aléatoire, d'abord un pont imaginaire, puis des chemins 20 mètres plus loin qu'attendu. Après une longue piste montante, on aboutit à une isolée. La trace est sensée reprendre derrière. On ne la trouve pas en amont, pas en aval.
On perd du temps. Finalement, il s agit d un chemin laissé à l abandon, touffu d'archos et autres épineux qui nous entament les bras et les tibias.
On perd du temps. Finalement, il s agit d un chemin laissé à l abandon, touffu d'archos et autres épineux qui nous entament les bras et les tibias.
Une belle descente puis une montée sur route nous font rejoindre Lio qui nous attend pour un ravito en eau.
Nous accédons à un chemin qui nous mène au cœur des Cévennes, une forêt abondante à flanc de montagne nous entoure, ça nous laisse rêveur. Qui dit forêt dit racines, aiguilles, feuilles. Mêlées aux roches de la montagne, cela nous offre un terrain de jeu inouï pour notre dernière escapade. Tout le monde s en donne à cœur joie. Nous passons devant le pôle mécanique ou des motos se font entendre, et rejoignons la civilisations. Nous terminons notre périple, un peu à la manière d'un album d Asterix, autour d'une bière, en nous remémorant la semaine passée et en planifiant la prochaine traversée.
La video de la semaine:
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